“Je ne veux pas que l’on sache que j'ai la lèpre”

Ranjana après avoir reçu les soins contre la lèpre

Regardez, cette photo de Ranjana après avoir été” soignée… Vous ne seriez surpris de voir comment elle était seulement quelques mois auparavant (photo ci-dessous). Elle n'avait que 16 ans lorsqu'elle soupçonna qu'elle avait la lèpre. D'elle-même, elle a demandé de l'aide à l’hôpital de Mission Lèpre d’Anandaban au Népal. Et c'était vrai, elle avait la lèpre. Lorsqu'elle a entendu son diagnostic, elle a répondu : “Je ne veux pas que l’on sache que j'ai la lèpre. Je ne veux pas être renié..."

Immédiatement, nos médecins ont soigné ses blessures et ont commencé le traitement. 
À cause des opérations, elle ne pouvait pas se rendre à l'école. Je ne pouvais et ne voulais dire à personne pourquoi je ne suis pas venu, j'avais tellement peur. À cause de la lèpre, il m'était difficile de manger et de m'habiller. Maintenant que je sais que la lèpre s'est installée dans mon corps et que je suis soignée, aussi, je vais mieux. J'ose repenser aux étude et à un travail. J'ose même me sentir à nouveau heureuse..."

Pourtant, la sensibilité dans ses doigts ne revient jamais. Ils sont définitivement endommagé. Heureusement, les opérations sur ses mains ont réussi et elle peut à nouveau utiliser ses doigts et les étirer.

Pendant que vous lisez ceci, quelqu'un entend : « Vous avez la lèpre. De nouveau toutes les deux minutes. Et si nous pouvions éviter des dommages permanents, comme avec Ranjana ? Avec votre aide, c'est possible. Chaque don, petit ou grand, aide à détecter, traiter et arrêter la lèpre de façon précoce. Ne serait-il pas formidable si vous pouviez illuminer le regard de quelqu'un qui a peur d'être rejeté ?

Ensemble, nous pouvons vaincre la lèpre pour de bon. Pas seulement pour Ranjana, mais pour beaucoup d’autres.

Ranjana en soin contre la lèpre à l’hôpital d’Anandaban au Népal